Pour le sage, chaque jour est une nouvelle vie

Le printemps a quelque chose de fascinant. Il ne fait pas chaud ni froid. Les arbres n'ont pas encore leurs feuilles. On sent que la nature va renaitre paisiblement, mais elle n'est pas encore. Tout commence à s'éveiller. J'aime cette saison. Se balader à travers les petits chemins de campagne bordés par une forêt dense attendant l'appel est un délice de tout instant.

Parfois, on tombe incidemment sur un paysage qui nous attire avec une force incroyable. On voudrait qu'il ne nous quitte jamais. Aussi, tout en fixant ce lieu féerique, on tâtonne ses poches à la recherche de cet indispensable objet qu'est l'appareil photo. Là, une grimace se forme sur le visage. On a oublié celui-ci. Le regret et un vide nous submerge. On se promet de ne plus jamais s'en séparer. Voici le paysage qui m'a attiré :